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Renaissance Fusion, la start-up Grenobloise qui construit des étoiles !


La jeune entreprise grenobloise Renaissance Fusion a réussi à lever 15 millions d'euros pour construire un réacteur à fusion nucléaire basé sur une architecture innovante appelée stellarator. Cette levée de fonds permettra à l'entreprise de tripler ses effectifs, d'acquérir les équipements nécessaires à sa R&D et de financer ses premières expériences.


"Chez Renaissance Fusion, nous construisons des stellarators, de " stella ", qui signifie " étoile " en latin. Des machines qui exploitent l'énergie de fusion de façon la plus efficace, régulière et stable"


La start-up grenobloise Renaissance Fusion a réussi à lever 15 millions d'euros pour construire un réacteur à fusion nucléaire basé sur une architecture très particulière nommée stellarator d'ici 2030.

La levée de fonds permettra à la jeune entreprise de tripler ses effectifs, d'acquérir les équipements nécessaires pour sa R&D et de financer ses premières expériences.


Renaissance Fusion a mis au point deux technologies innovantes pour surmonter les obstacles à la fusion nucléaire, protégées par une batterie de brevets.

La première est de faire graver directement sur l'enceinte du réacteur les aimants à formes complexes, ce qui permet d'assurer un processus continu.

La seconde est la conception de parois à métal liquide à l'intérieur du réacteur, qui protègent les parois solides, absorbent les neutrons, guident la chaleur produite vers le circuit secondaire et la turbine produisant de l'électricité.


L'entreprise vise à construire un réacteur compact de 1 000 MWe. D'ici 2024, Renaissance Fusion compte finaliser l'ingénierie de ses deux technologies phares pour pouvoir les commercialiser dans des secteurs tels que l'imagerie médicale, le stockage d'énergie ou les accélérateurs de particules.


La start-up Renaissance Fusion prévoit de finaliser les ingénieries de ses technologies phares, la gravure des aimants supraconducteurs et sa paroi en métal liquide, d'ici 2024 afin de pouvoir les commercialiser dans des secteurs tels que l'imagerie médicale, le stockage d'énergie et les accélérateurs de particules.

La société prévoit de recruter une soixantaine de salariés supplémentaires l'année prochaine.


La start-up a pour objectif à long terme de construire un réacteur de 1 000 MWe pour un prix unitaire compris entre 2 et 3 milliards d'euros d'ici les années 2030.






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